L. 'imaginaire-démoniaque-en-france, , pp.1550-1650, 2000.

T. Je-rejoins-là-les-hypothèses-de and . Van-hemelryck, Je n'exclus cependant pas l'existence d'une version du XIVe siècle, mais même si celle-ci a existé, je pense que le remaniement du XVe a apporté de telles nouveautés qu'il ne s'agirait plus

G. Sur-ce-point-de, . Roussineau, and . Qui-considère-que-la-vauderie, de 1459-1460 ; introduction, l. I, p. XXXIII) Je n'exclus pas que le sabbat de Perceforest soit contemporain des prémices de l'affaire (ce qui permet peut-être de la traiter sur le mode burlesque, avant qu'elle ne prenne l'ampleur qu'elle connaîtra par la suite) : des bruits sur le sabbat ont dû courir largement avant l'enquête et la mise en accusation. Sur l'environnement de la vauderie, voir F. Mercier, La vauderie d'Arras Dans son édition du livre II, G. Roussineau (l. II, t. I, note 59 p. XXVIII) présentait en 1999 comme vraisemblable l'hypothèse d'une influence de la vauderie d'Arras ; dans l'édition du livre I qu'il a présenté depuis, il revient sur le problème pour repousser cette idée, pp.1459-1460, 2006.

, Roussineau s'éloignait de cette hypothèse, je m'en rapprochais. F. Mercier quant à lui va dans le sens d'une influence possible de la vauderie, pp.68-69

. Le-théâtre-des-exclus-au-moyen-Âge, , p.33, 1997.

, Le problème de la tradition manuscrite se pose. Pour G. Roussineau, la version AB (A BnF, pp.345-348

D. Précède-la-copie-de and . Aubert, « escripvain bourguignon », textes réunis par D. Quéruel, Paris, Presses de l Cependant, on pourrait émettre l'hypothèse que les textes en vers appartiennent à un état antérieur du texte (on a souvent remarqué leur langue plus archaïque), O, peut-être la supposée version du XIVe siècle, dont descendrait le remaniement de David Aubert. A et B dériveraient de C en l'abrégeant, mais auraient eu recours à O pour donner une version entièrement rimée, pp.35-51, 1995.