F. Pomel-rossum, On rencontre pourtant plus tôt l'image de l'horloge astronomique chez Guillaume de Digulleville, qui semble particulièrement intéressé par l'astronomie, dès 1355-1358 à la n du Pélerinage de l'âme 72 : l'ange montre au pèlerin le rmament « Qui tourn(i)ant une armonie / Faisoit en grant sonnerie » (v. 8864-8866), produisant une musique céleste par les « mouvemens » (8875) et « tournemens / Des esperes » (8876-8877) comparées à des roues et engrenages 73, ce qui amène la comparaison du rmament, des étoiles et des planètes avec l'horloge. Car pour ce que contraires cours [A] aus autres .vii. et rebours, Les planetes fait varier, pp.8917-8922

«. Cette, 8924) perpétuelle, forme de concorde de mouvements contraires et multiples, produit une « mélodie