. Dans, travail consacré à André Cadere, la restitution des documents concerne par exemple les photos et leurs légendes (c'est moi qui souligne) : « Mardi 25 juillet 1978, p.37

M. Street, À l'aide de mon appareil 6 × 6 [?] prends un cliché de l'accrochage : trois vues* en noir et blanc, format 24 x 36, épinglées en ligne sur le seul mur disponible

B. Joubert-me-confirme and . Qu, » Puisque les légendes forment chez Cadere un système complexe et rigoureux d'identification de ses barres de bois, il n'est pas difficile de commettre une erreur d'attribution : « Vendredi 25 juin Sur la couverture de la brochure , diffusée en 1983, le code, lisible en bas de feuille, est erroné. / [LJC note 2010] / La page rectifiée remplace la couverture d'origine des quelques exemplaires conservés à LJC Archive ; impression jet d'encre, encre noire. » « Mardi 25 juin 1996 [?] Préparation d'un envoi avec rappel du parcours de Cadere de 1976. Transmission depuis l'école par fax, mode de communication discriminant s'il en est. Conserve les récépissés* d'expédition, p.51, 1978.

. Remarque and . Hui, que je répète une erreur de codification depuis l'exposition de, 1988.

. Certes, une représentation dominante de l'art dans les sociétés occidentales, ce qui assure à Lefevre Jean Claude la « situation de l'artiste escamoté 45 ». « D'après Claude Rutault, note-t-il le mardi 10 juillet je suis un travailleur de l'art? Entendre et comprendre " un travailleur de l'ombre " ». Sa conception de l'art est sans doute trop exigeante pour servir de modèle. Mais le rôle de l'art ? comme il a été entendu ici ? n'est-il pas d'inventer les possibles et d'expérimenter les virtualités, plutôt que de fournir des solutions consensuelles ? C'est à ce titre que LJC Archive est une pratique exemplaire, c'est-à-dire singulière, 2001.

L. Entretien-avec and . Finas, Le Goût de l'archive, Paris, Éditions du Seuil, coll. « La Librairie du XX e siècle, Kunstgeschichte als Geschichte », Jahrbuch der Hamburger Kunstsammlungen, pp.116-160, 1971.