les orfèvres avaient l'intention de donner à la Nuit sa ressemblance. Cette idée, d'un goût risqué, la fit pâlir de plaisir. Elle se voyait en statuette d'argent ,
, est pas en ronde bosse mais ciselé : Nana est une image en creux et en deux dimensions, une forme vide, faite d'une matière certes brillante, mais qui, en tant que mé-tal d'abord liquide, malléable et sans forme, reflète des images sur sa surface polie sans avoir la dignité et l'essence pleine du marbre, de la pierre
Voir aussi p. 1385 et 1391 : « Vous êtes à quarante, dit la Faloise. -Comment ? à quarante ! cria-t-elle, stupéfaite. J'étais à cinquante? Que se passe-t-il ? » ; « Nana était à trente, p.1379 ,
, la transposition de l'image érotique dans la poésie française au XIX e siècle, vol.63, pp.87-101, 1989.
, Mimesis et Semiosis. Littérature et représentation. Miscellanées offertes à Henri Mitterand, pp.461-474, 1992.
, , pp.1439-1440