, Une grande habileté de bateleur. Avec cela, ce qu'il décrit n'est souvent que trop réel. Notamment, le glissement (que lui-même accélère), d'une part de la théologie sur les « sciences religieuses », ou l'anarchie pseudo-mystique qui ronge une société établie dont la foi est absurde. Mais tout ce brio, ce désir de plaire aux courants à la mode et de heurter la gravité des gens sérieux et vides [sic], le rend aveugle aux réalités plus profondes. Les mots lui cachent les choses, Très peu d'échos dans cette correspondance de mai 68

L. Certeau, Qu'allons-nous pouvoir sauver ? » Il est en train de préparer son départ de Fourvière. Meurent en quelques jours le cardinal Daniélou (20 mai) et Jean Wahl (19 juin), qui avait dirigé la seconde thèse de Bouillard. Puisque le silence s'était désormais installé entre Certeau et Lubac, on ne peut parler entre eux d'un changement de ton, cause des dégâts parmi les étudiants jésuites, achevant de les dégoûter de la théologie

». Probablement-«-lieux-de-transit and . Esprit, , pp.227-252, 1973.

, Au sens qu'a le mot dans le chapitre V de L'étranger ou l'union dans la différence : « Le christianisme dans le temps de la révolution » (« Foi vivante », DDB, Paris, 1969 ; sur la dialectique des deux Testaments, cf. p. 142) -comme Lubac lui-même l'avait repéré : voir La postérité spirituelle de Joachim de Flore, Lethielleux/Culture et vérité, vol.16, p.835, 1981.

, Conclusion reprise, sous le titre « L'absent de l'histoire », comme chapitre neuf de Histoire et psychanalyse entre science et fiction, à partir de la 2 e édition, Certeau prête à Lubac les deux formulations, dans son texte d'Ecclesia (1964) et dans la nécrologie du Monde. C'est la première qui est correcte, tirée du « Mystère du surnaturel, vol.36, p.87, 1949.

, Document téléchargé depuis www.cairn.info -Université Rennes 2 -Haute Bretagne --193, vol.16, p.51